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"Seulement après que le dernier arbre aura été coupé,

que la dernière rivière aura été empoisonnée,

que le dernier poisson aura été capturé,

alors seulement vous découvrirez 

que l'argent ne se mange pas."

                                       Indiens Cree

Triste constat de voir ce problème de la faim augmenter : 1,2 milliards d'estomacs crient famine. La plupart des pays du sud souffre de malnutrition et de famine, tandis que les pays du nord se gavent. Mais, pour le nord comme pour le sud le problème est le même : le "droit à l'alimentation". D'après l'article 25-1 de la déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948 "Tout individu à droit à un niveau de vie adéquat pour sa santé et son bien-être personel ainsi que celui de sa famille, y compris la nourriture...". Ce droit reconnu par les Nations Unies est un droit fondamental, il donne accès à chacun à une alimentation saine et équilibrée pour l'ensemble des membres de la famille. Les pays du Sud sont touchés par la famine, ceux du Nord par une "malbouffe" constante et payante ! Les responsables nous les connaissons, les firmes agroalimentaires, les multinationales qui gèrent les semences à l'échelle mondiale, les laboratoires qui dévéloppent fongicides, insectisides, herbicides...

 

Mais aujourd'hui, nous devons changer : nous devons arrêter de dire "je ne veux pas de famine", mais plutôt "je veux que l'humanité mange à sa faim et soit libre de choisir son alimentation"...

 

Réapprendre à cultiver la terre c'est donner à l'homme et aux générations futures une chance d'obtenir la souverainté alimentaire ou l'autonomie alimentaire.

 

Une démarche de permaculture semble être la plus adéquat. Mais attention cultiver sa terre n'est pas retourner à "l'âge de pierre", au contraire la plupart des techniques d'agroécologie sont des techniques scientifiques extrement complexes qui mettent en relation la vie microbiologique des sols, la biologie de la plante et la composition chimique de la terre.

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